Au Bord J'm 'accroche au fil-conducteur conducteur de quoi hein ??? J'sais pas conduire ,jamais j'ai su… Je finis toujours en bielle …. En panne « des sens » !!! Ca boue Ca fume Ca shlingue Y'a d'l'eau ds l'huile De l'huile ds l'eau Ca flambe ….pshiiiiit ….... Culasse ! Je serre ….... A bloc, j'le pousse le moteur … à bloc….. J'serre les dents à m'en faire péter la machoire et j'claque la caisse , J'me retrouve au bord d'elle..... « la route » !!!! Jamais dessus T'façon ,j'ai jamais su ou j'allais …. J'ai toujours été là où je pouvais Comme je pouvais pas grand chose Ça m’a mené Au bord...... Je n'ai jamais été ailleurs qu'au bord au bord de la chute au bord de la route au borderline au bord d'aimer et d'être aimé au bord de naitre au bord de vivre au bord de la mort au bord du mur au bordel organisé au bord du silence au bordel d'a coté C'est « quand » que j'vais où ? C'est pas au « bord » que j'veux être ... C'est au centre au milieu d’dans on the road.... BEN OUAIS là, clignote en warning Dans une bielle « MAJUSCULE » impériale !! Signau-X- de detresse et gilet pare- balle faut « SANS-SORTIR » !!! fumée ? Lymbes ? Brouillard ? (Pascale Anne)

Si dans l’ensemble elle assure la toiture, c’est trop pas possible, il est sous le Danube, Elle, elle sort, elle s’assit dans la voiture, Elle est trop côte d’Azur pour assimiler la morsure, Hérald souffrir, ce n’est pas tes affaires, Qui a souffert ne doit pas toujours souffrir, Qui doit la farcir, ne le doit pas pour la tonsure, Qui parle fortune, ne vit pas que par la force Sud, Qui veut l’air de ses pairs, va prendre l’air de Lucifer, Elle défie les nerfs, elle s’épile les fers, Elle est adossée à la crise elle la bistourise, Elle rentre, elle sort, elle la préfabrique, Et elle à Christmas, jamais vu un animalistique, And so bad, une nana get so so winned, Comme une aura, un beau réel boréal, Elle, elle crème d’épinard qui saoule le Popeye, Wes Craven n’a qu’à bien se tenir, Le summum du love, le summum du pire, Elle ça y est, elle sort de l’olive, Elle, elle sort de la plage, elle, elle sort de mon livre, And Londinium, elle a vu la photo de la fille, Elle a vu, a pu, elle est grosse, laides sont ses chaussures, Les crevasses, qui creusent dans les jointures, Qui creusent à torture, à la porte des caves, La fortune kiffe sur de grosses caisses, A la fortune tracent de bien stranges abbesses, Il y a la fausse promesse, il y a la fausse tendresse, Il y a le bon sot et toute sa famille, Regarde c’est trop fort, ils se draguent à la ville, Ne te tracasses pas, il ne saurait pas t’souffrir, Mais les ukulélés de ces cerveaux trop zélés, Ne font que figer un destin assurément scellé. Une fille estropiée, des estropiés qui la veulent, Campent dans les tilleuls, clique sur le motif de forme, Clique sur « me parler », allons nous sommes par là, Restons en pourparlers ; laissons donc, pourparlons, Allons par là, allons partons acheter des cigar… Elle est comme ça, et je crois que ça suffit à l’adjudant, Et nous sommes à la weed et ce hallal là, Notre bagage en somme, A la somme de la caisse, à la Bombastic pill, An old old Negus, and i guess by olive, Un vieux bon summum et un vieux mauvais film, Old bad boy slim et une vieille bonne douleur, and i guess i Inna Posca, and we move strict au lit, Inna da heat ? na We never go back to school, In a hotel, in a hot hell, inna Anna,, Inanna a ordonné, Anna, Où sommes nous ? dans un cut, c’est le tralala, Houlala, super dub papa, tralala, Houlala, où sommes nous ? super trou lala, Ouh ça craint, we never go back houlala